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Transcrit par TurboScribe.ai

Bonjour à tous, nous sommes le dimanche 13 juillet, et en ce jour bien aimé de ce dimanche, je pense en premier à Notre-Dame de Fatima, qui est apparue pour la deuxième fois, pour rappeler, je dirais, au monde entier combien nous devons prier pour les uns et les autres, prier pour notre salut, prier pour que les pauvres pécheurs n’aillent pas en enfer, elle a montré cette vision incroyable aux enfants de Fatima, et en leur demandant de prier, de s’encorder par le rosaire, de prier aussi le coeur immaculé de Marie, pour sauver les âmes, et je trouve que cela fait une redondance magnifique avec l’évangile du jour, qui nous invite à prendre soin de notre prochain. Qui est mon prochain ? Dans la parabole du Bon Samaritain, nous voyons que les gens, qu’ils soient prêtres ou scribes, s’écartent du prochain qui est blessé, le blessé par les brigands, qui est comme une image de ce combat terrible que nous avons à mener contre le mal, et l’auteur du mal qui est Satan, pour ne pas succomber à la tentation, et nous avons besoin de l’aide du Bon Samaritain, et nous sommes tous appelés à être des Bon Samaritains les uns pour les autres. Alors je vous invite vraiment aujourd’hui à peut-être prendre cette résolution de prier pour les pauvres pécheurs, comme on le dit si bien dans la fin du Je vous salue Marie, Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen. Ce n’est pas du dolorisme, ce n’est pas une invention, ce n’est pas une vision qui serait hors-propos, qui dénaturerait la foi chrétienne et l’évangile, au contraire. Si le Christ est venu nous sauver, il est venu nous arracher des griffes du diable qui veut nous emmener en enfer, loin de Dieu, de son amour.

Et ce qui manifeste le plus cette tendresse de Dieu, cet amour de Dieu, ce Bon Samaritain, et bien c’est la Vierge Marie. Et derrière la Vierge Marie, j’ai une pensée toute douce pour ma chère maman, qui est née ce 13 juillet 1926, et qui a épousé, puisqu’on fête ce jour-là à Saint-Henri, qui a épousé son Henri. Un couple merveilleux comme on les aime, avec une grande attention pour la vie spirituelle, pour la vie chrétienne, avec une horreur du péché et du mal.

Eux-mêmes pauvres pécheurs, mais nous inculquant cette horreur du péché et du mal. Je pense que nous avons à tous inculquer, à nous inculquer et à aider les autres à avoir cette crainte, la crainte filiale d’être séparés pour toujours de Dieu. Alors comment faire ? En prenant soin les uns des autres, en étant des bons Samaritains pour les uns pour les autres, en portant dans votre prière les âmes de ceux qui sont désespérés, découragés, les pauvres pécheurs, vraiment.

Priez pour les pauvres pécheurs. Soyez bénis de tout cœur. Dieu vous bénisse.

Merci Jésus le bon Samaritain et fais de nous, Seigneur, les disciples, pour que nous soyons à notre tour, bons Samaritains. Je salue au ciel mes bons parents, Huguette et Henri. Je les bénis de tout cœur et je leur dis de prier pour moi, avec mes frères et soeurs déjà auprès du bon Dieu.

Yves, Guylain et Guimet. Soyez bénis. Et je prie pour ma soeur, bien sûr, Isabelle.

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