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Transcrit par TurboScribe.ai
Bonjour chers frères et sœurs, nous sommes le 18 juillet, en ce jour du vendredi, et bien le Seigneur nous invite à d’abord le regarder comme dans sa douceur et son humilité, comme un ami et un frère qui vient nous porter, nous porter en paradis, nous porter aussi et nous supporter dans nos épreuves et nos faiblesses, et il vient aussi comme un agneau tendre, un agneau immolé, un agneau qui se donne un goût qui est douceur. Il est aussi le bon pasteur. Alors peut-être, effectivement, comprendre que le Fils de l’Homme est venu non pas pour être servi, mais pour servir, et qu’il est vraiment le maître du sabbat, c’est-à-dire il nous redonne sens, il recentre le sabbat sur l’essentiel, c’est-à-dire la charité, l’amour inconditionnel de Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, du Dieu un en trois personnes, de l’adoration vraiment, donc de refuser toute idolâtrie, et puis de l’autre côté, l’amour du prochain, comme Dieu nous a aimés, que nous aimions les uns les autres comme il nous a aimés.
Alors un beau programme en regardant Jésus, Jésus je dirais avec son cœur sacré, mais aussi Jésus comme cet agneau qui vient à nous et qui s’offre en nourriture pour nous. Soyez bénis et une très très belle journée à vous tous en ce vendredi. Je vais terminer en vous lisant le psaume.
Comment rendrai-je au Seigneur tout le bien qu’il m’a fait ? C’est le psaume 115. J’élèverai la coupe du salut et j’invoquerai le nom du Seigneur. Jésus sauve.
Il en coûte au Seigneur de voir mourir les siens. Ne suis-ce pas, Seigneur ton serviteur, moi dont tu brisas les chaînes. Oui, il en coûte tellement au Seigneur de voir mourir les siens qu’il a décidé de mourir à notre place pour nous donner la vie et la vie qui ne finira pas.
Et désormais la mort est enboutie et le péché aussi, l’aiguillon du péché aussi. Alors Seigneur, je t’offrirai le sacrifice d’action de grâce. J’invoquerai le nom du Seigneur.
Je tiendrai mes promesses au Seigneur. Oui, devant tout son peuple. Amen.
Alléluia. En ce vendredi, élevez la coupe du salut, c’est-à-dire communiez à l’amour infini du Seigneur. Et unissez-vous aux messes qui seront célébrées en ce jour.
Soyez bénis, ô les cœurs, mes chères frères et sœurs, mes bons amis. Dieu vous bénisse.
Transcrit par TurboScribe.ai
