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Transcrit par TurboScribe.ai
Bonjour à tous, en ce 15 octobre, nous fêtons une des plus grandes saintes aussi qui a rayonné, docteur de l’église, Thérèse d’Avila, en religion Thérèse de Jésus. Elle est née un 28 mars 1515 en vieille Castille. Elle est morte dans la nuit du 15 octobre 1582 à Alba de Tormes.
C’est une religieuse carmélite espagnole. Alors, en fait, nous avons la joie de pouvoir contempler dans cette théologie, je dirais, de l’amour, de l’amitié avec Dieu, quelque chose d’incroyable, parce que cette madrée, on l’appelait la madrée, pour montrer comment elle était forte, d’une femme forte, avait finalement résumé un peu toute son amitié avec le Seigneur par cette prière que nous connaissons tous, que rien ne te trouble, que rien ne t’épouvante, tout passe, Dieu ne change pas, la patience obtient tout, celui qui possède Dieu ne manque de rien, Dieu seul suffit. Cette prière avait été retrouvée dans son bréviaire le jour de sa mort, le 15 octobre 1582.
Je pense qu’on peut vraiment relier cette intuition fondamentale à son grand désir aussi de nous voir nous convertir à la lumière, nous tourner vers la lumière, en nous détachant bien sûr de nos péchés, de nos vices et de l’attachement au bien matériel, mais je pense que c’est quelque chose de plus profond encore qui rejoint l’évangile. L’évangile, c’est comme une puissance d’éducation divine à la paix intérieure, et peut-être à découvrir justement, comme elle disait, que ne puis-je crier dans l’univers pour annoncer combien tu es fidèle à tes amis, Seigneur. Eh bien, je pense que c’est cela le charisme de Thérèse d’Avila, c’est de nous ramener vers la confiance au Seigneur, en montrant combien il est présent dans nos vies.
Tu es fidèle à tes amis, voilà. L’expérience que nous avons à faire, c’est de connaître Dieu comme un ami parlerait à un ami. Et les réalités spirituelles, elles sont de l’ordre de cette cordialité, se développant sous l’assistance du Saint-Esprit, avec bien sûr l’étude de la parole de Dieu, mais un commerce doux et simple qui développe une grandeur d’âme incroyable.
Eh bien, je vous invite à prier pour le Carmel, pour toutes les personnes qui sont liées au Carmel, et à avoir cette joie de Mère Thérésa d’Avila, la Madre Sainte Thérèse d’Avila, qui avait une grande joie et qui aimait aussi tout ce qui était artistique, en particulier le chant et la danse. Soyez bénis. Une belle journée à vous tous.
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