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Transcrit par TurboScribe.ai

Bonjour à tous, nous sommes le mardi de septembre, c’est la fête liturgique des martyrs de la révolution française, ce qu’on appelle les massacres de septembre, où des centaines de prêtres, évêques, religieux, religieuses ont été martyrisés par la populace, par cette révolution qui a été sanglante et qui a abouti à terreur. Nous demandons et nous prions, bien sûr, la geste des saints, c’est de pardonner à leurs bourreaux que le sang de ces martyrs soit la semence des chrétiens, nous n’en doutons pas. Et notre pays est fidèle à cette belle tradition d’universalité et aussi de catholicité.

Je voudrais avec vous réfléchir sur ce sens de l’engagement, fidèle aux promesses de notre baptême et que nous puissions, à la suite de la prière qui a été proposée pour la France, prière tirée des apparitions de l’île Bouchard, nous redemander nous aussi d’être fidèles aux promesses de notre baptême pour pouvoir apporter justement aux uns et aux autres tout ce dont ils ont besoin, c’est-à-dire cette orientation, ce sens, cette signification profonde de la vie. La vie nous a été donnée comme un cadeau de Dieu pour que nous allions vers lui en confiance dans l’amour et le don de soi pour que d’autres aient la vie. C’est ce qu’ont fait ces saints qui nous ont portés et nous allons leur demander aussi de nous redonner vitalité et force et surtout espérance.

Le pape Léon XIV dans l’Angélus du dimanche 31 a redit aussi sa confiance dans la paix, cette paix du Christ qui est seul le chemin qui peut nous libérer des peurs, des angoisses mais aussi nous redonner sens profond. Alors je vous bénis de tout cœur en ce jour où je serai au chevet aussi dans ma famille pour des gens malades mais je sais aussi que nous prions les uns pour les autres et que la musique du cœur est toujours là dans notre cœur. Soyez bénis.

France, fille aînée de l’église, pays de tant de saints, pays baigné par tant de lumières, des cathédrales, des abbatiales et des églises. France, bien-aimée, pour toi et bien pour l’honneur de la France et de la Sainte Église aussi, je donnerai ma vie. Amen.

Alléluia.

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